mardi 29 septembre 2009

LES BASQUES AVEC ELIANE VI

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lundi 21 septembre 2009

IL ETAIT UNE FOIS



Danielle et Raymond, la belle famille ont fait un rêve dans l'avion qui les amenait en Martinique. Un rêve qui leur permettrait de se réveiller tout en douceur sur un voilier, seul dans un mouillage au milieu des eaux turquoises des Caraïbes. Pas d'horaire, plus d'obligation, leur seuls soucis, contempler les poissons coraliens, lézarder au soleil ou explorer l'île et ses villages pittoresques. Puis le soleil se couchera juste derrière le bateau, ils n'auront plus alors qu'à savourer le planteur ou le ti punch tout en oubliant définitivement la belle mère, le portable, la télé et le stress.
Hélas!!!!, pour le pauvre Raymond, la réalité est tout autre, il est venu faire une formation de sécurité aux zonzons de l'aéroport du Lamentin.
Bon, ce n'est pas grave, un petit tour en voilier est tout de même programmé très bientôt, nous ne manquerons pas de vous le rapporter.

samedi 5 septembre 2009

TRISTE ANNIVERSAIRE



La tempête ERIKA s'est à peine désagrégée que le souvenir du cyclone LUIS du 4 et 5 septembre 1995 me rappelle que cela m'a couté mon catamaran CHIMERE VI qui n'a pas pu supporter les vents dantesques de ce cyclone. Il s'est envolé et a coulé dans le lagon de St MARTIN. Aujourd'hui, le souvenir est toujours là mais la passion est toujours intacte. Vive la mer, le soleil, la voile et tous les gens merveilleux que l'on rencontre dans ce voyage !!

jeudi 3 septembre 2009

TEMPETE ERIKA

ERIKA ma biche, ou plutôt ma sal.... ! Cette foutue tempête devait passer un peu au Nord de St Martin et St Barth, après c'était plutôt sur la Guadeloupe, et finalement sa trajectoire erratique nous l'a amenée à 140 kms de chez nous. Résultat, je déménage avec ELIANE VI vers des eaux plus fréquentables dans la baie du bourg des Trois Ilets. Je ne m'attendais pas à passer une nuit blanche du genre " tiendra, tiendra pas !". Des vents de plus de 30 noeuds et plus en rafales accompagnés de pluies torrentielles ont baladés le bateau bord sur bord pendant des heures. Des voisins moins acquéris ont dérapés et ont fait chier tout le monde, tout çà dans une nuit noire.
Ce phénomène est assez bizarre pour tout le monde y compris les météorologues avertis, car cela fait plus d'une semaine qu'ERIKA ne sait pas où elle veut aller.
En attendant, je profite d'une acalmie apparente pour venir à la maison pour me laver, me restaurer, et faire des gros bisous à Françoise.